ACTE II, SCENE XIII. .59
sce:se XIII.
PAULINE, diius raccahlcmcut.
' Qu'ai-je Jlt...!Un trouble affreux m'avoit saisie... Je ne l'ai pas assez ménagé.... Ma frayeur a-t-elle trahi mon secret...? () Mélac .' S'il avoit lu dans mon cœur...! Quel mal j'aurois peut-être Jait à ton père ! Il vient,
SCENE XIV.
P AIT L I N E , M E L A C f 1 1. s.
■MÉI..VC FILS entre d'une air transporté. Pauline, Pauline, il faut que ma joie éclat«à vos yeux.
PAUT, i:^^. Totae joie!
M É I, A c: F 1 1, s. Vous savez que rien ne m'intéresse , que ce qui peut nous rapproclier...
PAU 1,1 NE.
Quel moment prenez-vous...! Et quel ton...!
MÉliAC FILS.
T)ussiez-vons me traiter d'importun, d'audacieux, c'est celui d'unamaat qui peut désormais vous of- frir son cœur et sa main.
PA.ULIIS^K.
L'un de nous est Lors de sens.
MÉLAC FILS.'
C'est moi ! C'est moi ! la joie qui me transporte...
PA ULIN E.
La joie !
jBEAtlIARCHAIS. T. .^
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