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DES DÉLITS ET DES PEINES

insérant dans leurs traités avec les autres puissances, qu’en cas de guerre on ne pourra d’aucun côté délivrer des priviléges d’armemens, et que les vaisseaux marchands non armés, pourront de chaque côté continuer leur route sans crainte d’être molestés. C’est une heureuse amélioration dans le droit des gens, et l’on ne peut que désirer qu’elle s’étende à toutes les nations.