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deuxième partie. — la relativité généralisée.
électromagnétique est nul ; on savait d’ailleurs déjà que l’électron
ne pouvait exister qu’en admettant des forces de cohésion non
maxwelliennes (pression de Poincaré). Ce sont ces faits qui ont
conduit Einstein à modifier la loi de la gravitation et à introduire
le terme cosmologique (no 107).
Admettons, pour un moment, la continuité dans la structure géométrique de l’Univers, et partons de la loi de la gravitation, basée sur la conservation de l’impulsion-énergie,
(45-18)
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où représente maintenant le tenseur total d’énergie ; nous pouvons calculer le scalaire de ce tenseur ; nous devrons considérer ce scalaire comme représentant, en chaque point, la densité au repos de la substance ; nous aurons ainsi l’expression microscopique de la densité au repos.
D’après (25-18), (30-18), (31-18), nous avons
(46-18)
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Nous pouvons écrire
(47-18)
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avec
(48-18)
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(49-18)
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On a alors les relations
(50-18)
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(identique à (21-17), car dans le système de jauges naturel, est
la valeur de dans le vide), et, en tenant compte de
(système naturel),
(51-18)
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Cette formule, se rapportant au tenseur , donne l’aspect