manuscrit d’Oxford, nous serions tenus de condamner la leçon du manuscrit d’Oxford comme apocryphe et de la sacrifier à l’autre. De là, les minutieux efforts des critiques pour déterminer les rapports que soutiennent entre eux ces divers textes. De là, comme fruits de ces efforts, divers systèmes qui les classent en trois familles ou plus. De là, fondées sur ces systèmes, plusieurs éditions éclectiques : le texte d’Oxford s’y combine avec les autres ; on y trouve des centaines de vers du texte d’Oxford que l’éditeur a modifiés sous l’influence des leçons concurrentes, et d’autres centaines de vers qu’il a empruntés aux autres textes pour les insérer dans le texte d’Oxford.
On ne saurait considérer ces grands travaux sans une admiration et sans une gratitude qui croissent à mesure qu’on les regarde de plus près. Cependant j’ai bâti le mien sur d’autres fondements.
À mon tour j’ai comparé, phrase par