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Page:Belot - Mademoiselle Giraud, ma femme (47e éd.).djvu/163

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MADEMOISELLE GIRAUD

ni moi n’avions pu placer un seul mot, ce qui ne l’empêcha pas de nous dire :

— Vous pouvez revenir me voir dans ma retraite, vous ne sauriez la troubler par le bruit de vos voix. Je ne vous le reproche pas, mais vous êtes joliment silencieux et discrets.

Il n’aurait plus manqué qu’elle nous le reprochât.