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Page:Belot - Mademoiselle Giraud, ma femme (47e éd.).djvu/283

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MADEMOISELLE GIRAUD

courant les entraîne toujours et bientôt on les perd de vue

Dix minutes s’écoulent… un siècle ! M. Adrien de C… reparaît… Hélas ! il est seul… Il n’a pu sauver la malheureuse femme et c’est à peine si ses forces lui permettent de regagner la plage.»

. . . . . . . . . . . . . . . .


Après avoir lu, M. de Blangy prit la plume et écrivit : « J'ai compris et je vous remercie, en mon nom et au nom de tous les honnêtes gens, de nous avoir débarrassés de ce reptile… Le danger que vous avez couru vous absout. »

Il plia la lettre et la fit porter à M. Adrien de C…, rue Caumartin.


FIN

Clichy — Imp. Paul Dupont, rue du Bac-d’Asnières, 12