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Page:Belot - Mademoiselle Giraud, ma femme (47e éd.).djvu/58

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MA FEMME

de compliments, serrer toutes les mains, embrasser les visages les plus ridés.

On appartient à tout le monde excepté à sa femme. Enfin, l’heure du berger sonne ; on oublie les tribulations, les ennuis qu’on vient d’éprouver, la fatigue qui vous accable, car le bonheur vous attend à votre nouveau logis, on y court, on s’élance vers la chambre nuptiale… Hélas ! elle reste obstinément fermée.