Aller au contenu

Page:Belot - Mademoiselle Giraud, ma femme (47e éd.).djvu/89

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
84
MADEMOISELLE GIRAUD

Puis, tremblant, fiévreux, pâle comme un malfaiteur, je me dirigeai vers la porte de sa chambre à coucher.

Ainsi que je l’avais prévu, le verrou céda et la porte s’ouvrit sans bruit.