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Page:Benjamin - Le Major Pipe et son père, 1918.djvu/224

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LE MAJOR PIPE ET SON PÈRE

Barbet relut deux fuis ; puis, M. John Pipe dit gentiment :

— Je vous souhaite bonne journée… C’était peut-être une brave major, mais je pourrais pas m’intéresser… Car, déjà, ce kilomètre à l’ouest, ce… était trop militaire… et… vraiment trop bête !

Et il avait cessé de rougir. Il était devenu très affirmatif. Il tendit à Barbet une main affectueuse ; puis il disparut.