Page:Bentzon - Le Roman d’un muet, 1868.djvu/145

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— Vouvray ! cria un employé en ouvrant la portière.

Deux voitures stationnaient à quelques pas de là ; l’une, un poney-chaise vide, attendait Gaston pour le conduire à Vallombre ; de l’autre, une lourde et massive calèche, s’élança une petite fille, qui tomba dans les bras de Félix avec des cris de joie.

— Ma sœur ! dit ce dernier, et presque étouffé par son étreinte, il put à peine prendre congé de Gaston, en lui promettant de le revoir.