Page:Bentzon - Le Roman d’un muet, 1868.djvu/329

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Et pourquoi non ?

Les ai-je moins vécus ces attendrissements, ces surprises, toutes ces sensations étranges, qu’elles soient sorties par la porte de corne ou par celle d’ivoire ? — Qui osera dire que mes aventures de cette nuit-là appartiennent au domaine de l’illusion plus que tous les amours et tous les bonheurs de ce monde ?



FIN