Page:Bentzon - Le Roman d’un muet, 1868.djvu/60

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venirs qui l’accablaient. À un an de là, il épousa mademoiselle de Mareuse. Les convenances de ce mariage demeuraient les mêmes. Mademoiselle de Mareuse n’avait-elle pas une grande fortune et du crédit par ses alliances ? Mon père voulait une femme à la mode pour tenir son salon ; quant à Laure, elle avait résolu d’être madame de Brenne ; elle le fut. La couronne de marquise remplaça celle de comtesse. Ce n’était point perdre au change.


VI


Un roman s’arrêterait ici, mais je raconte l’histoire de ma vie, et au contraire c’est ici