Page:Beowulf, trad. Botkine.djvu/108

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 98 —

2. Je suis ici le texte de Heyne et autres qui s’écarte à la vérité du ms., mais qui offre un sens beaucoup plus intelligible.

3. Le changement de situation dont il est question ici doit s’entendre de la manière suivante : « Après que la mère de Grendel eut pénétré dans la salle, les anciens périls qui accompagnaient les visites de Grendel, les menacèrent de nouveau. » Beóvulf, Heyne, p. 143.

4. Le changement de tha (ms.) en the rend la phrase intelligible ; j’ai adopté cette modification.

5. Traduction libre de l’anglo-saxon. Des deux côtés, c’est-à-dire de Grendel et de sa mère.

XXI

1. Au feuillage bruissant ; cette traduction n’est valable que dans la supposition que le verbe hrinan a le sens de sonare, clamare, ce qui n’est peut-être pas suffisamment prouvé.

XXII

1. La trace, ags gang. Le manuscrit porte gan et un g au-dessus de l’initiale qui suit.

2. L’idée que les épées trempées dans le poison acquéraient une vertu particulière était également répandue chez les Scandinaves ainsi qu’on le voit par l’Edda.

XXIII

1. Kemble a ajouté ici le mot in au texte, avec beaucoup d’à-propos.

XXIV

1. Louve de l’abime, c’est l’une des appellations variées dont le poète enrichit la mère de Grendel.

2. La neuvième heure du jour, non dæges, l’heure qui correspondait à trois heures de l’après-midi. Les Anglo-Saxons comptaient le temps de jour à partir de six heures du matin.

3. S’assirent ; le manuscrit porte chercher : cette correction est de Grundtvig.