Page:Berchoux - La Gastronomie, 1819.djvu/106

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
94
NOTES

jiomie. Cet auteur fut ranii d’un tles fils de Périclès, " Il avait parcouru les terres et les mers pour connaître par lui-même ce qu’elles produisent de meilleur. Il s’instruisait dans ses voyaf ; es, non des mœurs des peuples, dont il est inutile de s’instruire, puisqu’il est impossible de les chanc ; er, mais il entrait dans les laboratoires où se préparent les délices de la table, et il n’eut de commerce qu’avec les hommes utiles à ses plaisirs. Son poème est un trésor de lumière, et ne contient pas un vers qui ne soit un précepte. C’est dans cette école que plusieurs cuisiniers ont puisé les principes d’un art qui les à rendus immortels. »

" PAGE 26, VERS 5.

Je chante, comme lui, la cuisine, la table. C’est un grand malheur que la Gastronomie d’Archestrate ne soit pas venue jusqu’à nous. Je ne sais si la mienne pourra réparer cette perte.