Page:Bergerat - Souvenirs d’un enfant de Paris, vol. 1, 1911, 3e mille.djvu/54

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cure que j’y suivis. Un matin que j’en revenais, Marie la Provençale me remit une dépêche que j’ai encore :

« Père et Mari reçu au Vaudeville. Reviens. Coquelin. »

J’étais guéri. Je rentrai à Paris.