Page:Bergerat - Souvenirs d’un enfant de Paris, vol. 3, 1912.djvu/160

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— Mon cher maître, lui dis-je, il n’y a pas d’abord douze livres fondamentaux dans les littératures humaines, il y en a douze cent mille ou pas un, et un centenaire ne vit que trente-six mille cinq cents jours. Ensuite vous êtes trop modeste. Quand vous dînerez chez Dumas, avec des princes de la science et des lettres, vous n’ayez qu’à leur parler peinture, ils vous laisseront tous le crachoir et pour cause.