Page:Bernard-Pradon - Le Commerce galant.djvu/24

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augmente, & que les amans atribuent les maladies de leurs maitreſſes à l’amour qui ſe vange de leurs froideurs. pag. 276 277 & ſuiv.

Let XXVIII. Timandre à Iris. Il lui marque par ſa lettre la peine qu’il ſoufre de ſa maladie, il la prie de lui tenir compte de l’inquietude où il eſt. p. 277 & ſuiv.

Let XXIX. La jeune Iris à Timandre. Iris écrit à Timandre qu’il faut aller doucement en amour, que les amans, dés qu’ils ſont heureux, travaillent à rendre les amantes malheureuſes : mais cependant elle lui avouë qu’on ne peut reſiſter à une tendreſſe conſtante ; elle lui envoïe des couplets & quelque choſe à corriger. pag. 279 & ſuiv.

Let derniere. Timandre à Iris. Il ſe plaint à Iris de ce qu’elle eſt ſi lente à aimer, &c. pag. 283

FIN.