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Page:Bernard - Eleonor d Yvree.djvu/101

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rien ne le pouvoit diſtraire, & qui l’empeſcha même de ſentir la ruine entiere de ſa fortune, que le Comte de Tuſcanelle cauſa.

La Comteſſe de Retelois pleura autant ſon Amie, que ſi elle n’avoit pas été ſa Rivale, & elle vêcut avec le Comte comme une perſonne dont la vertu étoit parfaite, quoi qu’elle fût toûjours malheureuſe par la paſſion qu’elle avoit dans le cœur.


FIN.