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ACTE PREMIER

tre, maintenant, c’est la seule manière d’échapper à celle-ci… (À la fenêtre de gauche.) Good bye !… Comtesse, Good bye !… Qu’est-ce qu’elle emporte !… Ce sont mes habits !… Elle emporte mes habits !… Et tout le reste est parti dans mes malles !… (Il réfléchit un instant. Son visage change d’expression peu à peu.) C’est un cas de force majeure !… (Il se dirige vers son lit…) C’est un cas de force majeure !

Il s’étend sur son lit. La baronne, poussant le vasistas paraît à l’œil-de-bœuf au-dessus de la porte.
LA BARONNE.

Comment ! malheureux, vous êtes couché ! Tout le monde est à la mairie ! Il est cinq heures, vous savez !…

LE VICOMTE, se relève lentement, va fermer le vasistas au nez de la baronne, et revient vers son lit.

C’est un cas de force majeure !

Il se couche paisiblement.


Rideau.