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DEUXIÈME PARTIE.
DE L’EXPÉRIMENTATION CHEZ LES ÊTRES VIVANTS.
CHAPITRE PREMIER. — Considérations expérimentales communes aux êtres vivants et aux corps bruts.
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§ I. La spontanéité des corps vivants ne s’oppose pas à l’emploi de l’expérimentation.
101
§ II. Les manifestations des propriétés des corps vivants sont liées à l’existence de certains phénomènes physico-chimiques qui en règlent l’apparition
104
§ III. Les phénomènes physiologiques des organismes supérieurs se passent dans les milieux organiques intérieurs perfectionnés et doués de propriétés physico-chimiques constantes
107
§ IV. Le but de l’expérimentation est le même dans l’étude des phénomènes des corps vivants et dans l’étude des phénomènes des corps bruts
112
§ V. Il y a un déterminisme absolu dans des conditions d’existence des phénomènes naturels, aussi bien dans les corps vivants que dans les corps bruts
115
§ VI. Pour arriver au déterminisme des phénomènes dans les sciences biologiques comme dans les sciences physico chimiques, il faut ramener les phénomènes à des conditions expérimentales définies et aussi simples que possible
122
§ VII. Dans les corps vivants, de même que dans les corps bruts, les phénomènes ont toujours une double condition d’existence
127
§ VIII. Dans les sciences biologiques comme dans les sciences physico-chimiques, le déterminisme est possible, parce que dans les corps vivants comme dans les corps bruts, la matière ne peut avoir aucune spontanéité
132
§ IX. La limite de nos connaissances est la même dans les phénomènes des corps vivants et dans les phénomènes des corps bruts
137
§ X. Dans les sciences des corps vivants, comme dans celles des corps bruts, l’expérimentateur ne crée rien ; il ne fait qu’obéir aux lois de la nature
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CHAP. II. — Considérations expérimentales communes aux êtres vivants et aux corps bruts.
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