Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/182

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

tude y contribuë. Je ne vous parle point de la mienne, vous m’avez découvert mal-gré vous, une partie de ce que vous pretendiez me cacher ; je ſçais que vous avez des pensées injuſtes de moy, vous ne voulez pas me donner lieu de me juſtifier & vous negligez d’eſtre content d’une perſonne que vous n’aimez plus ; j’ay avec la crainte de vous perdre, la certitude d’avoir déja perdu