Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/183

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voſtre amitié ; mais je vous l’ay dit, je ne pretens point vous toucher par mes douleurs. Il ne s’agit icy que de vous-meſme, plaignez-vous de moy pour vous ſoulager, & vous éclairciſſez pour vous mettre plus en repos. Peut-eſtre ne me trouverez-vous pas coupable, ſi vous me faites parler. Hé bien ! Madame, luy dit Monſieur d’Amboiſe, puiſque mes reſveries ont commencé