Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/191

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

allerent enſemble à la campagne. L’affliction de cette veuve ne ſe moderoit point, il luy ſembla qu’elle ne conſoleroit jamais de la mort de ſon Mary ; elle connut tout le prix de l’affection qu’il luy avoit portée, & combien ſon cœur & ſon merite eſtoient au deſſus de celuy des autres hommes ; elle alloit juſqu’à l’admiration pour luy, & elle eſtoit bien éloignée de ſoupçonner qu’elle