Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/192

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pût jamais avoir de ſentimens plus vifs pour quelqu’un ; elle ne croyoit meſme point en avoir eu d’auſſi vifs, elle évitoit de penſer à la Lettre du Marquis de Sanſac, il luy ſembloit que c’eſtoit par indifference, mais elle ſongeoit inceſſamment à la generoſité qu’avoit euë ſon Mary, de conſentir en mourant qu’elle l’épouſaſt, quoy qu’elle n’euſt pas deſſein d’en profiter.