Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/222

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qu’il m’a faits, j’ay par cette raiſon formé le deſſein de demeurer veuve ; & ſi j’avois aſſez de foibleſſe pour ne le pas executer, je ne ſerois point heureuſe en vous épouſant ; quelque amitié que j’euſſe pour vous, mes reflections m’empeſcheroient de joüir de la voſtre, & m’oſteroient peut-eſtre la mienne à la fin. Ah ! Madame, luy dit-il, avec le deſeſpoir dans l’ame, je vois que