Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/156

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qu’il l’aimoit aſſez pour ne la diſputer pas davantage aux dépens de ſa vie. Il vit qu’il faloit la ceder à ſon Rival, qu’elle ne pouvoit eſtre que malheureuſe avec un autre. Il crut qu’il eſtoit capable de cet effort. Il ſe flata méme qu’une action extraordinaire produiroit peut-eſtre un effet extraordinaire, & que s’il ne ramenoit pas Mademoiſelle de Roye vers lui, en faiſant pour elle une choſe