Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/157

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

dont un autre ne pouvoit eſtre capable, il rendoit du moins tous les autres hommes indignes d’en étre aimés. Enfin il ſe formoit du debris de toutes ſes eſperances, une nouvelle ſorte d’eſpoir. Toûjours il penſa qu’il empoiſonneroit le bonheur de ſon Rival, en lui donnant luy-méme ſa maîtreſſe. Mais aprés tout, ce n’eſtoiẽt que des idées. Son cœur ne goûtoit point ſes raiſons, & il lui auroit en-