Page:Bernier - Au large de l'écueil, 1912.djvu/239

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
237
au large de l’écueil

— Tu ne faibliras pas, demain ? Tu me reviendras ?…

— C’est mal d’avoir douté de moi, mon père…

— Je t’en demande pardon, je me suis fourvoyé… Tu iras lui dire adieu, puisque c’est le seul moyen de tarir le chagrin qui me met le cœur à sang…

— Oh ! merci, mon père, et pardon de vous faire de la peine…