Page:Besant - Des religions pratiquées actuellement dans l’Inde.djvu/405

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Celui qui ne cause aucune crainte aux autres et ne craint personne
Dis, Nânak ! écoule, ô esprit, il faut l’appeler Jnâni Sage.

(Gourou, IV).

Voici maintenant quelques slokas sur la dévotion au Gouroudeva :

Ô Nânak ! reconnais celui-là pour le vrai Gourou, qui t’unit au tout, bien aimé.

(Gourou, I, Shri Rag).

Chaque jour, une centaine de fois (je) voudrais me sacrifier à mon Gourou ;
À lui qui m’a transformé en Dieu et il ne lui a pas failli longtemps pour faire cela.

(Gourou, I, Vara Asa).

Si une centaine de lunes et un millier de soleils venaient à se lever,
Et que tout cela éclairât, sans Gourou régnerait (quand même) une obscurité terrible.

(Gourou, I, A’savara).

Béni soit mon véritable Gourou, qui connaît Hari
Qui nous a montré l’ami et l’ennemi égaux à nos yeux.

(Gourou, IV, Vara Vadhans).