Page:Bethléem - Romans à lire et romans à proscrire, 7e éd.djvu/310

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de Paris) ; Oncle trésor (peu intéressant et fêtes mondaines) ; Petite belle (longueurs, assez intéressant) ; Les pieds d’argile ; Armelle Trahec (suite du précédent, tous deux émouvants et excellents) ; Les Prévalonnais (pas gai) ; Réséda (assez bien, invraisemblances) ; La Rustaude (un des meilleurs) ; Sans beauté (bien peu de sentiment chrétien) ; Sans nom (un peu d’invraisemblance) ; Sous le joug ; Souvenirs d’une douairière (recueil de nouvelles) ; De trop (très demandé) ; Une famille bretonne (fêtes mondaines) ; etc., etc…


Francis Finn, jésuite, romancier américain, né en 1859. Tous les petits Français connaissent ses ouvrages si empoignants et si gais : Tom Playfair ; Percy Wynn ; Harry Dee ; Claude Lightfoot ; Figures amies ; Une seule fois.


Eugénie Foa, alias Rodrigue Gradis (1799-1853). On ne trouve plus malheureusement en librairie ses délicieuses nouvelles : La petite maman ; Les enfants de la vallée ; etc…


Gabriel Franay (Romelay-Dijon, 1860), est ravissant (n’est-ce pas ravissante qu’il faut écrire ?) dans Mlle Huguette ; Flosette ; Le château des Airelles (romanesque) ; Comme dans un conte (pas vécu et pas gai) ; Mon chevalier (couronné par l’Académie) ; Lisbeth (suite du précédent, pas pour tous) ; La marraine de Peau-d’Âne (conte de fée).


Lady Georgina Fullerton (1812-1885), fille du comte Granville, ancien ambassadeur d’Angleterre à Paris. Convertie au catholicisme en 1846, elle écrivit sous le titre de Constance Schrwood, une édifiante autobiographie.

Parmi ses autres œuvres, où elle excelle à peindre les souffrances intimes du cœur, citons : La fille du notaire ; Laurentia (la persécution au Japon) ; Giévra ;