Page:Bibaud - Le secret de la marquise, Un homme d'honneur, 1906.djvu/113

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La muse qui parfois m’inspire
Une épigramme, une chanson,
D’Horace me prêtant la lyre,
M’ordonne de hausser le ton,
Pour chanter dignement la gloire
Du héros qui, dans notre histoire
S’est fait un immortel renom.

Quel est ce guerrier magnanime
Qu’on remarque entre six héros,
Que l’amour de la gloire anime,
Et porte aux exploits les plus beaux ?
Iberville, nom que j’honore,
Qui mérite de vivre encore,
Inspire-moi des chants nouveaux.