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![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/82/FI-d120-fig._43_-_Trac%C3%A9_sphygmomanom%C3%A9trique_%28calcul_mental%29.png/650px-FI-d120-fig._43_-_Trac%C3%A9_sphygmomanom%C3%A9trique_%28calcul_mental%29.png)
Fig. 43. — Tracé sphygmomanométrique pris immédiatement après celui de la figure 42. Le sujet faisait un calcul mental compliqué : multiplication de trois chiffres par deux chiffres. Sujet assis. Pression graduellement croissanle de 0 à 140 millimètres. On remarque que le pouls disparaît environ à 125 millimètres, tandis qu’à l’état de repos, il disparait déjà à 110 millimètres ; il y a donc une augmentation nette de la pression sanguine sous l’influence du travail intellectuel.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/7/76/FI-d120-fig._44_-_Trac%C3%A9_sphygmomanom%C3%A9trique_%28effort_physique%29.png/700px-FI-d120-fig._44_-_Trac%C3%A9_sphygmomanom%C3%A9trique_%28effort_physique%29.png)
Fig. 44. — Tracé sphygmomanométrique pris immédiatomont après celui de la figure 43. Le sujet fait un effort musculaire consistant à tenir la jambe soulevée pendant quatre minutes. Sujet assis. Pression graduellement croissante depuis 0 jusqu’à 180 millimètres. On remarque que, dans ce cas, le pouls ne disparaît qu'après une pression de 140 millimètres, tandis qu'à l’état de repos il disparaît environ à 110 millimètres, et pendant le calcul mental il disparaît à 125 millimètres environ.