p. 100 de calculs faits : ces 19,7 p. 100 se partagent entre les trois séries de la manière suivante :
Le nombre de fautes a donc diminué dans la deuxième série et un peu augmenté dans la troisième série. Les chiffres varient si peu qu’on ne peut en tirer aucune conclusion.
Deuxième série. — Des expériences analogues aux précédentes ont été faites dans la même classe le jour suivant, pendant la quatrième leçon du matin.
La vitesse des calculs est indiquée par le nombre de minutes au bout desquelles les calculs ont été terminés :
Les nombres de fautes sont les suivants :
On voit que les fautes augmentent vers la fin de l’heure ; il semble donc que les élèves ont été fatigués pendant cette deuxième série d’expériences.
Des résultats analogues ont été obtenus par cette même méthode dans une autre classe.
Le défaut que cette méthode de Richter a en commun avec celle des calculs arithmétiques est de faire une trop grande place à l’exercice qui est acquis au bout de quelque temps et qui peut facilement masquer les influences de la fatigue. On devrait chercher à faire les expériences avec