Page:Blanche - À une dame traductrice, paru dans Le Figaro, 13 février 1931.djvu/7

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

ciaux s’en chargent… »

Mais pour revenir à la charmante Jane Austen de Pride and prejudice, de Persuasion et autres tableaux de la gentry campagnarde britannique, à relire ses chefs-d’œuvre, je me prends à douter si, aujourd’hui, les admirateurs français de Virginia Woolf, de Rosamond Lehmann, qui sont ceux de notre jeune Russe, Mme Irène Némirovsky, découvriraient la fine satire de Jane, sa pudeur, l’innocence des personnages (peu variés), qu’elle met en action ;