gantées aussi, le plus souvent, dans les modestes établissements de ce genre, ces dames font leur entrée au salon dans le costume le plus primitif qui soit.
Les clients sont tout de suite fixés, et, par ce temps de duperie et de tromperie, ils peuvent se convaincre que ce qu’on leur offre est bien véridique.
Est-ce pour prouver qu’elle ne veut pas tromper son honorable clientèle que la tenancière agit ainsi ?
Est-ce pour éviter aux petites femmes qu’elle emploie des frais de luxe bien inutiles ?
Est-ce encore par crainte des dessous douteux ? Car les pauvrettes ne gagnent pas là des mille et des cents et les accessoires de la toilette féminine dont si coûteux !
Pour quel motif au juste, nous l’ignorons, mais notre impartialité nous commande de renseigner exactement nos lecteurs sur l’organisation des maisons de rendez-vous parisiennes et voici pourquoi nous leur énumérons tout ce qui nous paraît susceptible de les intéresser dans les maisons de premier ordre comme dans celles de sixième ordre.
