Page:Blasco-Ibáñez - Les Quatre Cavaliers de l’Apocalypse.djvu/44

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à faire signe à un taxi, où elle monta pour rentrer chez sa mère. Mais, au moment où il prenait congé d’elle, elle le retint par la main et lui demanda :

— Ainsi, tu ne crois pas à la guerre ?… Répète-le. Je veux l’entendre encore de ta bouche. Cela me rassure.