Page:Bloy - Histoires désobligeantes.djvu/339

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qu’il tenait sans doute en réserve pour le moment opportun — d’une femme « charmante, quoique un peu mûre », qui me comblerait de délices.

Deux heures plus tard, je couchais avec ma mère, qui ne me reconnut que le lendemain.

Agréez, etc.