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Page:Bloy - Je m'accuse, La Maison d'Art, 1900.djvu/31

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IV


Que mes lecteurs me pardonnent de les entretenir si longuement de M. Zola qu’il n’est plus permis d’associer à une préoccupation littéraire.

S’il ne s’agissait que d’une émission nouvelle de ce financier de plume, le respect de l’Art m’aurait imposé le silence le plus profond. Mais l’altitude suprême que prend aujourd’hui le mastoc, du haut de ses écus, — grappillés un peu trop cyniquement sur l’avoir des pauvres, — me paraît au point de devenir tout à fait insupportable.

L’année dernière, ne se vantait-il pas, à Londres, de représenter, à lui seul, les Lettres françaises ? L’insolence était si forte que