Page:Bloy - Le Salut par les juifs, 1906.djvu/124

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

exterminés de fatigues, enveloppés dans un perpétuel brouillard de misères, et si, parfois, ils se ruaient contre les perfides, c’était, comme je l’ai dit, parce que ceux-ci refusaient de mettre fin aux Langueurs du Christ ; — sentiment d’une tendresse ineffable que personne jamais ne comprendra plus !