leurs poitrines ou sur les frontons de leurs tabernacles, ils la portent en creux dans leurs âmes dévastées ou dans les cavernes périlleuses de leurs synagogues.
Quoi qu’ils disent et quoi qu’ils fassent, ils ne peuvent pas n’être pas l’intaille du Sceau de la Rédemption.
Et c’est pourquoi leur dégoûtant aspect est encore plus démonstrateur que celui des meilleurs chrétiens qui peuvent si facilement altérer, — par leur propre volonté, — le relief de l’Effigie salutaire.
Cette empreinte béante, élargie comme le précipice du Chaos, par l’œcuménique dilatation du Catholicisme, ils ont essayé de la combler en la remplissant d’argent, et ils n’ont réussi qu’à donner à ce terrible cancer l’apparence d’un astre blafard, — se rendant eux-mêmes tout à fait semblables à des miroirs de concupiscence et de mort.