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les dernières colonnes de l’église
Une chose, pourtant, sera difficile à dire, c’est l’insupportable et pluvieux ennui de ce bouquin dont la grisaille éternelle me fait songer à ce Val Sinistre du Dauphiné, que le soleil n’a pas visité depuis six mille ans, où de blanchâtres crétins remuaient à l’entour de moi, comme des fantômes, dans la pénombrable torpeur.
Ah ! les descriptions du Père Didon ! ce mélange récrémentitiel de la pituite sébacée de Renan et des mucosités harmonieuses de Lamartine !
Oh ! ses réflexions morales et ses homélies psychologiques ! ce ravaudage besogneux des chaussettes à l’abandon de nos analystes passionnels !
Il faudrait pouvoir citer ce Dominicain promu grand artiste et qui peut écrire ceci que je picore à l’aventure parmi cinq cents notes :