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vrants et mêler mes chants de joie à vos chansons d’amour !
Ce ne sera point celui qui, sans couronne sur la tête et sans regret dans le cœur, aura, sans unir sa voix à elles, souri avec indulgence aux clameurs étourdissantes des convives, et qui de tous les mets aura choisi ceux qui raniment la santé et la force et repoussé avec dédain ceux-là qui les énervent et les tuent.
Non, non, aucun d’eux n’a le droit de s’écrier : Hélas ! hélas ! l’heure est passée ! — Malheur et regrets à nous !
Et lorsque l’heure suprême qui annonce la fin du festin de la vie a sonné pour nous, lorsqu’est venu le moment où il nous faut dire à tout ce qui nous environne : adieu, adieu ; qui