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Scène VIII.
JACQUES ROSBIF ; FINETTE, faisant plusieurs révérences à Jacques Rosbif.
Rosbif.
Finissez, avec toutes vos révérences, qui ne mènent à rien.
Finette.
Vous êtes naturellement si civil et si honnête à l’égard des autres, qu’on ne se lasse pas de l’être envers vous.
Rosbif.
Verbiage encore inutile. Venons au fait. Où est Éliante ?
Finette.
Elle n’est pas visible.
Rosbif.
Elle doit l’être pour son prétendu.
Finette, éclatant de rire.
Vous son prétendu ? Ah ! ah ! ah !
Rosbif.
Oui, moi-même. Qu’est-ce qu’il y a là de si plaisant ?
Finette.
Je vous demande pardon, monsieur ; mais votre