Page:Boiteau - Légendes pour les enfants (Hachette 1861).djvu/127

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tremperions-nous nos mains dans un si beau sang que celui de notre maîtresse ? Laissons vivre celle à qui nous n’avons rien vu faire de digne d’une si cruelle mort, sa modestie et sa douceur sont des preuves infaillibles de son innocence. Peut-être un jour viendra-t-il qui mettra sa vertu en évidence et améliorera notre sort. »