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PARAPILLA,

Dont nul voiſin ne diſoit, le voilà ;
Et qui, charmé de ſon doux hermitage,
Quand on vouloit, ſe trouvoit toujours là.
Mais à ſa ſœur elle a promis ce gage :
L’heure s’envole ainſi que les amours.
Adieu, dit-elle ; & de l’œil & du geſte,
Le careſſant en perſonne modeſte,
Elle l’enferme, il part, & pour toujours.




Parapilla, poème érotique Français, illustration