Page:Borel - Champavert, 1833.djvu/312

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écu dans la main de l’incombustible et se jetant hors du cabriolet.

Viva Dios ! Señor estudiante, es V. m. d. muy dadivoso, muy liberal ! Dios os guarde muchos años.

Caballero, vous vous souviendrez bien de Martinez le Calesero et du numéro de son carrosse ?

— Si, si !

Le seigneur étudiant entra dans la maison désignée, et Martinez, tout jovial, s’en retournait chantant moitié castillan, moitié gitano, ce bizarre couplet :

 
Cuando mi caballo entró en Cadiz
Entró con capa y sombrero,
Salieron a recibirlo
Los perros del matadero.
Ay jaleo ! muchachas,
Quien mi compra un jilo negro.
Mi caballo esta cansado…
Yo me voy corriendo.


Avec la gravité d’un sénateur ou d’un huissier agréé près le tribunal, Passereau, tête baissée, monta l’escalier.

— Ah ! c’est vous, beau carabin !

— Bonjour, ma petite Mariette.