Page:Borel - Rapsodies, 1868.djvu/64

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Tu me livres ton front, ton beau col et ta main,
Puis il faut que, le cœur plein d’ardeur et de joie,
Je caresse en enfant cette robe de soie :
Non, ce n’est plus assez, non, je voudrais ton corps,
Je le voudrais entier !… Vainement tu me mords.
Point de cris, point de pleurs. — Monstre ! — Belle maîtresse :
Rien que des pleurs de joie et des râles d’ivresse !…