Page:Borrelli - Les Dactyles, 1896.djvu/112

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Et je m’en suis allé, me disant que, sans doute,
J’avais tort, et qu’ainsi les choses étaient mieux ;
Mais, triste horriblement, en regagnant la route,
Je me suis retourné pour les derniers adieux.

La lune, en plein, donnait sur la muraille blanche.
J’ai bien revu la pierre. Au vent devenu frais
Oscillaient lentement les têtes des cyprès :
— Aucun chant ne tombait de la plus haute branche.



Revue de Paris, 1er janvier 1896.