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par nos jeux, par notre santé, par notre jeunesse, par l’heureux succès de nos affaires, par nos flatteurs, parmi lesquels il faudrait peut-être compter des directeurs infidèles que nous avons choisis pour nous séduire, et enfin par nos fausses pénitences qui ne sont suivies d’aucun changement de nos mœurs, nous viendrons tout à coup au dernier jour ? La sentence partira d’en haut : la fin est venue, la fin est venue. (…). La fin est venue sur vous. (…) : tout va finir pour vous en ce moment. Tranchez, concluez. (…). Frappez l’arbre infructueux qui n’est plus bon que pour le feu : coupez l’arbre, arrachez ses branches, secouez ses feuilles, abattez ses