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Page:Botrel - Chansons de route, 1915.djvu/232

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I

« Madame, C’est pour un ami,
Laissé pour mort à l’ennemi,
Que je vous écris cette lettre.
Pardon si ma main tremble un peu,
Mais il s’agit d’un tel aveu,
Qu’il va vous offenser, peut-être :